Alec Freiszmuth - Toujours à l'écoute [100% download]

• 17/09/79 : Naissance d’Alec Freiszmuth. Né à Munich en Allemagne, il est le fils de Hank Freiszmuth et de Lydia née Krause. Il s’agit du second et dernier enfant de la famille, après son frère Franck Freismuth. La famille Freiszmuth fait partie de la classe sociale moyenne. Le père était manager dans un restaurant en ville, et la mère vendeuse dans une boutique de meuble. Vivant juste de ce qu’ils avaient, les enfants ne manquaient ni du confort, ni d’amour familial. Alec s’entendait parfaitement bien avec ses deux parents, mais il resta bien plus attaché avec son ainé à un point où on les disait inséparable, alors qu’ils étaient si différends sur le plan comportemental. En effet, on dit d’Alec être un enfant réservé, posé et réfléchit, alors que Franck semble plus actif et impulsif.
La famille est religieuse, de confession protestante. Bien que les parents soient de grands pratiquants, Alec ne dépassera pas plus le stade de la croyance, mais ne trouvera pas intérêt à pratiquer un culte particulier.

Durant son enfance, l’ambiance n’était pas toujours agréable. Bien que la ville se voulait être un symbole économique et culturel, les habitants restèrent marqués par les attentats menés lors des Jeux olympiques, et ce fut dans un climat de méfiance que grandirent le jeune Alec et son frère. Néanmoins, les deux enfants ne connurent aucun réel problème et purent mener une scolarité normale.

• 1985 - 1989 : La scolarité d’Alec se passa sans encombre. Même, on notera assez tôt chez le jeune garçon, un penchant pour la lecture et la réflexion. Peu attiré par les activités physiques, ce qui lui sera souvent reprocher durant plusieurs années pendant sa jeunesse, il sera vite considéré comme un bon élève assidu qui pourrait aller loin. À cette époque, Alec ne savait pas trop quoi faire, hormis son frère qui lui rêvait de devenir un champion d’automobile en Europe. Il pensera à devenir professeur, architecte, astronaute, libraire… Mais souvent, on le voyait marcher dans les traces de son père, ce qui ne l’enchantait guère pour cela.
Une petite anecdote, Alec et Frank eurent un lien fraternel très particulier. Au fur et à mesure qu’ils grandissent, on eut du mal à savoir qui était l’ainé et le cadet. La raison n’étant pas du fait de leur taille, mais Alec prit rapidement le rôle du frère responsable qui surveillait son ainé, le conseillait, démontrant ainsi un très haut niveau de maturité et de responsabilité. Un comportement qui pouvait bien faire rire, mais qui fut plus d’une fois source de conflit dans la fratrie. Imaginez par exemple vous qui êtes allé dans une fête, finissant soûle et que votre petit frère vient vous retrouver et vous fait presque la morale.

• 12/10/1988 : On peut dire que cette date fut décisive pour Alec Freiszmuth. Alors qu’il approchait de la Grundschule (Primaire), Alec et sa classe firent une sortie scolaire dans un musée. Toujours aussi curieux, le jeune garçon chercha à se renseigner sur tout ce qu’il voyait. Et il fut surtout intéressé par deux choses. Premièrement, les inscriptions sur des artefacts exposés. Chaque dialecte avait son propre code pour se faire comprendre, ce qui éveilla l’intérêt du jeune garçon. Mais aussi, voir tant de monde venir visiter, et parler dans diverses langues. Il se posa la question du « Pourquoi parlent-ils ainsi et pas autrement ? » Ce sera un point de départ pour le destin qu’il s’apprêtait à créer de ses mains. C’est ainsi que s’éveilla en lui une certaine passion pour les langues. Alors que ses camarades parlaient plus de sport et de musique, l’enfant Freiszmuth lui parlait des différentes notions du langages qu’il apprenait et s’amusait avec, comme par exemple utiliser de nouveaux apprit issue d’un vieux dialecte, ou quelques expressions perdus ou étrangère. Depuis ce jour, Alec devint très bon en langue, y travaillant d’arrache-pied sur celles qu’il apprenait en cours et les futurs à venir. Notamment, il se montra très bon en anglais, devenant même le meilleur de son école à cette époque. Mais ceci n’était que le prequel de l’immense savoir qu’il allait vite gagner, surtout grâce à un événement historique qui allait marquer son pays.

• 1989 – 1997 : Déjà, l’année de 89 marqua un grand changement aussi bien pour Alec, que pour l’Allemagne. En même temps que le jeune homme quittait la Grundschule pour le secondaire, le mur de Berlin tomba. Le pays fut bien entendu en fête et Munich se réjouissait également de l’événement malgré le fait que la ville se trouvait loin de la frontière des deux blocs. Le dernier des Freiszmuth n’avait que dix ans, mais cela ne l’empêchait pas non plus de se réjouir avec les siens de cet instant historique. Pour lui, avec cette naïveté qui l’accompagnera toute sa vie. Le plus important fut de voir des gens réunit et en paix, ce qui réjouissait son cœur. En tout cas, il ne se doutait pas des portes que cela allait ouvrir pour lui plus tard.
Durant les années lycée, Alec poursuivit une scolarité normale une fois de plus. Il connut des hauts et des bas, mais trouva toujours le moyen d’en sortir plus fort, restant positif. De plus, il resta un très bon élève, excellent en langues et en littérature. Cependant, il eut du mal à se choisir une voie encore, hésitant entre diverses possibilités qui s’offraient à lui. Il voulut tenter une filière scientifique, mais connus quelques difficultés, le poussant plutôt vers le littéraire.
Cependant, Alec Freiszmuth connaîtra un épisode tragique qui changera à jamais son existence.
• 04/01/1994 : Alors qu’il était en plein cours, on vint le chercher, lui demandant de se rendre au bureau du directeur. Se croyant accusé d’un quelconque délit, le jeune homme coopéra et aura la curieuse surprise de voir des agents de police. Il demandera bien s’il avait commis un crime, la raison de leur présence était tout autre, bien plus sinistre. On venait l’informer que son frère Frank Freiszmuth était mort tôt ce matin, tuer dans un accident de voiture. Son grand frère voulait se faire recruter dans une écurie, et tenta de faire ses preuves sur un parcours. Mais malgré ses entraînements, il loupa un virage. Alec fut reconduit chez lui où il retrouva sa famille en pleure, déchirée. On disait que pendant tout ce temps, et pendant l’enterrement la semaine qui suivit, Alec ne pleura pas. Pas une larme ne perla le long de ses joues. Mais son visage était bien rouge, on croirait le voir craquer à chaque instant, comme quand on enterra son frère devant lui lors d’une journée bien grise, mais non. C’était comme si quelque chose en lui, était mort également.

Alec reprit ses études après un mois accordé, et il était partagé entre la volonté de se battre ou tout abandonné. Il tenta toutefois de noyer sa peine dans son travail, tout faire pour se changer les idées, évitant de parler de ce triste épisode, malheureusement, il ne fut pas au bout de ses peines.

• Courant 1995 : Alec avait seize ans. Un peu plus d’un an après le décès de son frère, le couple Freiszmuth ne put survivre plus longtemps. Beaucoup de choses se sont accumulées depuis. La mère ne supportait plus les souvenirs bien lourds de leur maison, et elle se sentait honteuse de voir en Alec, le fils qu’elle avait perdu, ce qui la tourmentait. Pour Hank, il s’était laissé aller peu à peu aller à la dépression et à l’alcool. Il n’était pas devenu alcoolique et violent heureusement, mais les bouteilles qu’il laissait traîner et le fait qu’il se montre plus susceptible mit à rude épreuve les nerfs de son épouse. Malgré son jeune âge, Alec voulut être le pilier, le soutient de ses parents pour les aider à tout remettre en ordre, mais malgré toute sa bonne volonté et ses efforts, la cassure se fit.
Il n’y a pas eu de divorce, les parents s’aiment encore trop, mais préféraient vivre séparément. Alec dut encaisser cette nouvelle situation et tenir le coup, allant tantôt voir l’un puis l’autre.

• 1999 : C’est l’année d’entrée en fac. L’année précédente, en 1998, Alec ne savait pas trop quoi faire encore et dut faire quelques petits boulots à droite et à gauche comme aide mécanicien, serveur dans un petit restaurant, dans un cinéma, le ménage pour des petits contrats. Mais ce sera lors d’une visite chez son père qu’il choisira une voie. Retrouvant de vieilles notes datant de son enfance, il verra les premiers travaux amateurs qu’il a mené sur le langage, comment une langue pouvait naître. Il y retrouva toutes ses théories les plus folles et où son imagination d’enfant l’avait mené. Ceci l’amusera fortement et se laissera à nouveau séduire par cette discipline. La curiosité revenant au galop, il voulut poursuivre ses recherches, mais de manière plus officielle et construite et pour se faire, Alec prit la décision de se lancer dans des études universitaires pour devenir expert linguistique. Sa mère ainsi que son père ne virent l’intérêt de leur enfant pour un tel choix. Chacun voulut le convaincre de choisir autre chose, malheureusement pour eux, Alec s’y tenait fortement et finit par avoir leur soutien. Il fallait avouer que malgré le caractère hésitant et peu sûr de lui, c’était un choc de le voir aussi résolut pour quelque chose.
Il s’agissait d’un programme de cinq ans d’études sur Berlin. En effet, Alec chercha le meilleur enseignement du pays, et il était curieux de voir ce que la capitale avait à offrir depuis que le mur était tombé et les deux moitiés de la nation réunis. Un pari risqué, mais dont il s’y plongea. Pour y vivre, le fils Freiszmuth se trouva dans un premier un temps un petit logement sur place, un appartement pour être plus précis. Mais pour le payer, ainsi que soulager ses parents financièrement et obtenir ce dont il avait besoin pour vivre, il continua à travailler par ici et par là, dans des emplois étudient. Il travaillait surtout dans un petit magasin de livres et un restaurant à temps partiels.

Sa première année se déroula plutôt bien. Bien qu’un peu perdu au départ, et peu sur de ses réussites, Alec parvint à impressionner plusieurs de ses professeurs pour ses remarques réfléchis, la qualité de ses recherches pendant les travaux donnés. Se sentant un peu plus en confiance, l’étudiant tenta l’apprentissage d’une nouvelle langue venant fraîchement d’être proposé à la faculté. Entre le Russe et le Chinois, c’était pour cette dernière que son cœur pencha. Et aussi bien que pour l’anglais, le jeune homme se montra très doué également.

• 2000-2003 :  Pour les années suivantes, on proposa à Alec un programme étudiant, une forme d’alternative au cursus traditionnel, qu’on pourrait appeler un « Échange d’étudiant. » Cela tombait bien. Car Alec rêvait de voyage. Il appréciait son pays natal, mais il songeait à voyager, parcourir le monde, découvrir ses habitants et étudier sur place le langage auprès des autochtones directement. Ainsi, la première année, il partit pour la France, qui sera suivit après par l’Italie et enfin la grande Bretagne et l’Irlande du Nord, où il se découvrira un certain amour pour la bière irlandaise. Il en repartira avec de très bons souvenirs à chaque fois, écrivant un bilan à l’attention de ses professeurs à Berlin.
Ce fut lors de son voyage justement en Irlande, qu’Alec fera la rencontre de son plus grand amour. Claudia s’appelait-elle. Également Étudiante, c’était pendant une soirée universitaire au sud de Dublin qu’ils se rencontrèrent. Le coup de foudre fut immédiat et très vite, les deux jeunes gens élaboreront tout un projet d’avenir ensemble après leurs études. Pendant près d’un an, ils connaîtront le bonheur, mais un obstacle allait se mettre à travers de leur route. Le programme d’Alec touchait à sa fin, il devait rentrer en Allemagne. Mais lui et Claudia se promirent de se retrouver une fois les études finis, ce qui ne devait plus tarder. En tout cas, Claudia fut un réel soutient pour Alec, qui le soutenait constamment dans ses études, à ne jamais lâcher tout comme lui cherchait à la soutenir.

• 2004-2008 :  Ce fut un grand jour. Revenant de son programme d’échange, Alec obtint son MASTER. On y organisa une grande fête pour cela et bien qu’il voulût se montrer raisonnable niveau alcool, on le disait plus fêtard que jamais d’après ses proches. Son seul regret, fut de n’avoir Claudia auprès de lui, mais se consola en pensant que bientôt, ils se retrouveront. Mais tout ceci ne fut qu’une étape. Motivé plus que jamais, Alec décidera de viser le doctorat.
Mais le parcours se révélera bien entendu bien plus difficile qu’à l’accoutumer. Plus d’une fois Alec crue échouer dans son objectif, et il aurait sans doute abandonné, s’il n’avait pas eu le soutien de ses parents et de sa bien-aimée à distance. Ainsi, il continuait, cherchant à toujours faire mieux. Hélas, au bout de deux ans, un nouveau drame vint secouer la vie d’Alec. La relation longue distance qu’il entretenait avec Claudia fut bien plus compliquée à gérer. Un jour, alors qu’il revenait de cours un soir, il découvrit une bien triste missive. Sur cinq pages, Claudia lui exprima tout son amour pour lui, mais ses objectifs ont changé. Elle comptait partir pour les Amériques motivées par la rencontre d’un nouvel homme. Elle lui présenta mille fois ses excuses, qu’elle avait tout fait pour chasser ce désir d’elle, mais rien à faire. Et elle conclut en lui souhaitant « Bonne chance mon cœur. » Alec, seul, fut effondrer.
La dernière année fut la plus difficile. Déboussoler depuis sa rupture qu’il trouva bien injuste, sa concentration et sa confiance furent toutes les deux mises à mal et non niveau commença à baisser. Il aurait pu échouer définitivement dans ses études, si un ange gardien n’était pas là, à veillé sur lui. Remarquant son état, un de ses professeurs, monsieur Arnold Hoffman qui appréciait beaucoup son étudiant, et qui fut un des experts linguistiques les plus respectés en Europe, se montra inquiet. Voulant l’aider, et connaissant l’excellent travail de son élève, prit Alec comme assistant. Une nouvelle fonction qui effectivement, aida bien le principal concerné.

• 2009 :  Obtenant donc son Doctorat à l’âge de trente ans, Alec se sentait comme comblé. Ce long et dur parcours mené lui apporta enfin le titre de professeur linguistique. Pour bien démarrer sa nouvelle vie professionnelle, le jeune homme accepta un post à l’université de Berlin, secondant encore son mentor le professeur Hoffman, mais pouvant cette fois-ci donner à son tour ses propres cours bien entendues. Cependant, sa carrière ne resta pas un long fleuve tranquille.

• 2009 – 2014 :  Alec sera mené à voyager aux quatre coins du monde. Passant de l’Amérique jusqu’en Russie, il en profitera d’ailleurs pour approfondir ses connaissances en apprenant au passage, le Russe et le Grec. Beaucoup de monde resta émerveiller par la capacité incroyable d’Alec d’apprendre autant de langue avec facilité. Pendant ses voyages d’ailleurs, il arrivera que le jeune homme soit invité sur quelques sites archéologiques, où il pourra étudier par moments sur d’anciens dialectes sur place.

• Fin 2014 début 2015 :  Le professeur Hoffman créa à Berlin une équipe de chercheurs, composés aussi bien de linguistes que de psychologues et sociologues dont Alec fut convié, et même désigné comme second du professeur. L’imminent scientifique expliqua son projet à ces personnes en qui il vouait la plus grande des confiances. L’ONU avait pour projet de lancer une expédition dans l’espace à bord d’un vaisseau spatial de haute technologie où l’équipage composé de d’autres scientifiques étudieront des planètes lointaines. Ayant quelques amis haut placé, Arnold proposa l’idée suivante, celle de faire une étude sur l’évolution du langage, des moyens de communication employer dans un milieu isolé regroupant des gens issus de différentes nationalités. Point négatif, le voyage durerait soixante-dix ans, ce serait donc un adieu pour le membre qui devra s’y rendre. Et cette personne, c’était Hoffman qui s’était porté volontaire pour l’expédition. Et si cette équipe fut ainsi constituée, c’était pour mettre au point l’étude qui devra être menée, les points à notés, les interactions pouvant être utile, comment interpréter certains changements dans le comportement, etc.

• Avril 2015 :  Une terrible nouvelle vint s’abattre sur le groupe de chercheur. Le professeur Hoffman eut une attaque et dut être envoyé aux urgences. Alec voulant prendre des nouvelles de son vieil ami, se rendit à son chevet. Mais le mentor eut la mine bien basse. Il avait échappé de peu à la mort, mais son destin semblait sceller. Sa santé était fragile, et les responsables du Voyager n’accepteront jamais d’avoir à la fois un homme ayant des problèmes de cœur et aussi, ayant atteint un certain âge. Cependant, le professeur ne voulut pas abandonner son projet d’étude et demanda à Alec de le remplacer. Ce dernier hésita, même refusa, doutant qu’il soit à la hauteur pour un projet aussi important. Cependant, Arnold tenta de le convaincre. Il était son second, celui à qui il avait tout apprit, son « Digne héritier » et il avait parler de lui à ses contacts, qui se montrèrent très intéressés par Alec et désiraient voir sa candidature.

• Juin 2015 :  Alec voulut prendre un moment pour y réfléchir. Il ne se voyait toujours pas apte pour une telle mission. Il chercha même un moyen pour éviter ce départ qu’il trouvait forcé. Au final, il se tourna vers ses parents. Il chercha sans doute à ce qu'ils lui disent que ce serait pure folie et qu’il ne devrait pas y aller. Après tout, cela voudrait dire qu’ils ne rêveraient plus jamais de leur fils. Mais contre toute attente, aussi bien sa mère que son père, l’encouragèrent à accepter. C’était une grande chance pour lui qui aimait voyager et qu’il devait faire ses propres découvertes. Concernant les quelques amis que possédait Alec, et bien leur avis étaient mitigés, mais ne semblant avoir de réels liens très forts, Alec se laissa donc convaincre de partir et envoya donc sur le site internet du vaisseau, CV et lettre de motivation, rejoignant ainsi une longue liste de candidats attendant chacun d'être tirer au sort.

• Courant 2017 :  Entre temps, Alec poursuivit son métier tout en étant préparé aux projets par ses collègues et les conseils de monsieur Hoffman qui avait repris ses activités de professeur. Pendant qu’ils terminaient ce fameux projet d’étude auquel Alec devait utiliser une fois à bord, ce dernier garda tout de même l’espoir que son nom ne soit retenu dans la sélection finale, que le nom d'un autre expert soit choisis à sa place. Hélas pour lui, ce fut tout le contraire, il fut retenu.
Convoquer à un entretient, Alec devait surtout répondre à des questions basiques sur qui il était, mais surtout, expliquer directement les raisons de rejoindre l’expédition du Voyager. Alec fut quelque peu intimidé. On ne savait pas si c’était cet état d’esprit qui le fit passer pour maladroit. Il fit tomber les stylos, et même manqua de tomber parterre quand il voulut s’asseoir. Cependant, il impressionna par son éloquence. De façon naturelle et simple, il présenta le projet de son mentor et ceux à quoi ils s’attendaient sur le Voyager. Puis ce furent ses capacités physiques qui furent étudier. Bien qu’il ne soit pas un sportif de haut niveau, Alec possédait de très bonnes conditions physiques. L’entretient fut plus que concluant, Alec était officiellement membre du vaisseau.

• 2018 :  Comme pour tout le reste des membres de l’équipage, Alec dû être formé pour le voyage dans l’espace. Son entrainement se passa en Cologne où on lui fera une remise en forme en plus de s'entrainer pour la vie spatiale. On lui apprendra également comment manier certains outils, des techniques de survie etc. On notera l’entrée quelque peu remarqué du chercheur. Homme légèrement nerveux, maladroit faisant tout renverser tellement il gardait le nez en l’air, admiré devant cette prouesse technologique de notre monde. Cependant, il restait toujours aussi souriant et riait même de ses maladresses, ce qui mit à l’aise tous ceux qui l’entouraient, surtout ses formateurs. Bien qu’il eût quelques moments difficiles, l’envoyé d’Arnold Hoffman s’en sortait très bien et put suivre sa formation jusqu’au bout sans réel souci.

• Décembre 2018 : Alec eut tout juste le temps d’envoyé un dernier au revoir à ses parents. Il savait qu’il ne les révérait sans doute jamais d’où le fait que ce moment fut très difficile à vivre. Il laissa juste sa famille derrière lui, ses amis étant rares peu furent là pour lui dire au revoir.
Puis, ce fut ainsi qu’Alec et tous les autres membres du Voyageur en cryogénisation pour un long, mais très long voyage…