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 G'day, mate !

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Message(#) Sujet: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyJeu 20 Fév - 15:59

G'day, mate !
Aussies rocks !

Voyage #1, Phase #4 ☾ La danse des marionnettes

Poppy Johnson & Stephen Lloyd
• Date : 24 janvier 2030
• Statut du RP : Privé
• Résumé : Stephen a besoin d'aide pour son ordinateur mais quand ses yeux tombent sur le nom de Poppy, le mal du pays le pousse à l'appeler à l'aide.
• Recensement :
Code:
• [b]24 janvier 2030[/b] [url=http://starship-voyager.forumactif.com/t630-g-day-mate]G'day, mate ![/url] - [i]
Poppy Johnson & Stephen Lloyd[/i]
Stephen a besoin d'aide pour son ordinateur mais quand ses yeux tombent sur le nom de Poppy, le mal du pays le pousse à l'appeler à l'aide.
 


Dernière édition par Stephen Lloyd le Ven 14 Aoû - 22:18, édité 2 fois
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyJeu 20 Fév - 16:00

Il a d'abord décidé de consulter la liste des gens réveillé du département Ingénierie et Maintenance, plutôt que de faire bêtement appel au premier venu. C'est stupide, sans doute, mais Stephen ne se sent pas réellement serein à l'idée que quelqu'un farfouille dans les entrailles de son ordinateur. Consulter la liste des gens éveillés ne lui donnera sans doute pas beaucoup plus d'informations, certes, mais il se sent rasséréné à l'idée de connaître, au minimum, le nom de celui ou celle qui viendra l'aider dans sa croisade contre l'informatique. Et puis... et puis, un nom lui saute particulièrement aux yeux dans la liste ou plutôt, une nationalité. Poppy Johnson. Australienne. C'est un brusque mal du pays qui le saisit soudain, comme une lancinante envie d'entendre l'accent si particulier du Land Down Under, les mots si spéciaux parfois qu'utilisent ceux de chez lui. Il a beau avoir habité New York pendant longtemps Stephen, le mal du pays le saisissait parfois. Jusqu'à présent, il n'a pas réellement pris le temps d'y penser mais maintenant que ses yeux se sont posés sur le nom de la jeune femme, il peut difficilement faire semblant de l'ignorer. S'il n'était pas aussi occupé, il aurait sûrement pris le temps de parler un peu avec le chirurgien Montgomery mais en toute honnêteté, il a tardé à saisir l'opportunité.

Et celle-ci se présente maintenant à lui. Ce n'est pas exactement le domaine de la jeune femme, peut-être se montrera-t-elle plus douée en opérateurs qui hantent les couloirs mais même si elle ne sait pas l'aider, peut-être lui indiquera-t-elle quelqu'un de fiable ? L'excuse est bancale, il s'en rend bien compte Stephen mais après tout, il a bien le droit d'être égoiste non ? Et d'exiger, badge à l'appui, d'avoir affaire à la jeune femme ? Il n'en faut guère plus au diplomate pour se convaincre et envoyer une requête à la jeune femme sur son mail privé et celui de son directeur de département. Une requête à joindre sa cabine, parfaitement, pour un problème informatique qu'elle devrait être en mesure de résoudre. Il le formule ainsi, le diplomate, ne sachant trop ce qui dysfonctionne. Son ordinateur ne fonctionne pas, ça c'est sûr, mais la communication avec son pad semble coupée elle aussi, et il n'est pas persuadé que ce soit réellement un problème de câbles ou de quoi que ce soit qui fassent fonctionner les deux entités et les fait interagir entre elles.

Il n'a pas à attendre longtemps une réponse positive, et s'installe à son bureau le temps de patienter, bien embêté pourtant de ne pouvoir être réellement fonctionnel. Un regard sur sa cabine - privilège de la fonction - et Stephen sort son jeu de cartes, repoussant son pad pour mieux s’exercer. Cela a toujours fait retomber la tension lorsqu'il est nerveux, quelques tours de passe-passe. De la magie, disent les autres. Du travail et encore du travail, leur répond l'ambassadeur. Le tour qu'il a pioché dans la base de données d'Hécate est particulièrement complexe à manipuler, et cela lui permet au moins de se concentrer pleinement sur ce qu'il faut plutôt que de laisser son esprit battre la campagne. Il ne maîtrise pas encore pleinement le mouvement qu'un signal lui indique que quelqu'un se trouve à sa porte et il laisse les cartes sur le bureau pour venir ouvrir lui-même la porte de sa cabine.

"Arvo, Miss Johnson"
La salue-t-il de cet argot si commun en Australie et que l'ambassadeur s'est efforcé de gommer lorsqu'il prenait la parole aux Etats-unis. Oh oui, le slang australien lui a définitivement manqué. Dire "bon après-midi" sonne tellement pédant lorsqu'on parle anglais !
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptySam 22 Fév - 21:11

Le quotidien de toute personne ayant un peu d’habileté avec l’informatique est toujours invariablement ponctué de « est-ce que tu sais pourquoi mon ordinateur ne fonctionne pas ? ». C’était déjà sur Terre une règle fixe, et force est de constater qu’à bord du vaisseau Voyager portant la fine fleur de l’Humanité (et, incidemment, les derniers humains aussi, donc par défaut ils sont les meilleurs) la même règle semble s’appliquer. Pire, la chose semble s’amplifier au vu de toutes les occasions de rentrer en contact avec la technologie à bord. Ne serait-ce qu’Hécate, que leur pad ! Pire, même, l’ouverture automatique des portes.

Pour être totalement honnête, Poppy en a sérieusement un peu plus que ras-le-bol. Qu’on vienne lui demander une fois ou deux, en la connaissant, de leur déverrouiller un ordinateur récalcitrant, ça peut aller. Qu’on la choppe au coin d’un couloir pour l’engueuler à moitié que leur mot de passe ne fonctionne pas, c’est un peu fort de café. Mais vous voulez qu’elle y fasse quoi, son travail, c’est de penser des robots et leur fonctionnement, pas de vous expliquer le concept du caps lock bande de nouilles. L’ingénieure en a fini par se mettre à mentir à certains : non, non, elle ne sait pas comment fonctionne les pads ou bien le système de messagerie interne – ce qui n’est pas totalement faux, mais si elle le voulait, elle pourrait sans doute sans grand problème en prendre assez connaissance pour se dépatouiller. Bordel, le seul souci, c’est qu’elle n’est pas là pour faire de la hotline !
Au moins, ça amène les gens à venir lui parler ! Pendant qu’elle leur met gentiment 14m4N455 en mot de passe ‘sécurisé’ (les gens cons ne lisent pas ce niveau de ‘complexité’ du langage), ils lui font la papote.

Par contre une convocation directe dans une cabine de directeur, ça, la rousse n’a jamais encore vécu. Faut dire que son propre directeur de département doit savoir se débrouiller, qu’il paraît que le Libanais n’a jamais regagné la sienne, quant au directeur Campbell… Elle ne s’est jamais posé la moindre question sur lui, à dire vrai. Elle l’a juste vu de loin, plusieurs fois, lui a trouvé un petit air mignon avant de retourner à ses occupations – mignon du genre à vouloir lui ébouriffer les cheveux, même si là, les cheveux….
Quoi qu’il en soit, Poppy Johnson, ingénieure en robotique, va devoir aller faire de la maintenance informatique pour l’ambassadeur. Par précaution elle emporte son pad avec elle, mis sous silencieux : il ne manquerait plus qu’il se mette à sonner à chacun des – nombreux – mails qu’elle reçoit ; elle laisse derrière elle, dans sa cage, Pikachu. La petite souris innocente n’a rien à faire hors de sa chambre.

Le chemin qui serpente dans les couloirs aseptisés du vaisseau, curieusement silencieux malgré la masse toujours mouvant de l’humanité réveillée, serait presque angoissant : ce n’est pas normal, ce silence dans les dortoirs ou les cabines. Certes l’intérieur est certainement plus vivant – à certains moments – mais l’ensemble n’inspire pas totalement confiance à la jeune. Elle est d’autant plus rassurée quand elle atteint la porte de l’ambassadeur : il est certain que la déco des cabines des officiers est plus vivante que les couloirs où résonnent ses pas. Sagement, la rousse badge son comlink pour signifier son arrivée.

C’est une expression surprise qui se peint sur son visage, empreinte à la fois d’interrogation simple et d’un soulagement discret. « Oh. » Ce n’est pas la même chaleur qui la prend que lorsqu’elle discute avec Nat – encore heureux – mais c’est quelque chose de doux-amer, là, juste à l’arrière de sa gorge. La sensation qui nous submerge lorsque naissent des souvenirs qui nous sont chers. « Arvo. » Ca fait combien de temps qu’elle ne l’a pas employé, simplement ? Sans compter la stase, six ans, dix ? Un léger sourire se glisse sur ses lèvres alors qu'elle le détaille rapidement. « Monsieur l’ambassadeur. Heureuse de vous rencontrer, ajoute-t-elle en inclinant la tête, retenant par automatisme le reste de son inclinaison. Des soucis avec votre machine personnelle ? »
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyVen 6 Mar - 22:20

Il a sûrement déjà croisé la jeune femme - il croise beaucoup de monde, en réalité - mais il a pourtant résisté à ouvrir son dossier et à le parcourir. C'est une fierté toute personnelle, qui démontre bien qu'il a seulement envie de discuter avec une compatriote plutôt que de réellement chercher à s'informer sur la personne qui viendra trifouiller son ordinateur. Il a une relative confiance envers la jeune femme, ce qui ne l'empêchera pas de la surveiller pourtant, mais il lui faut bien déterminer des critères, n'est ce pas ? peu importe qu'ils soient abusifs !

La jeune femme est bien plus jeune qu'il ne l'aurait pensé, ou alors, son apparence lui donne quelques années de moins. Il n'en sait trop rien Stephen et préfère de toute façon ne pas s'aventurer sur ce terrain glissant. Sa salutation, qui ne laisse aucun doute sur ses origines, finit par faire un sourire sur les lèvres de la rouquine alors qu'elle l'interroge sur la raison de sa venue. Elle est directe, au minimum, l'ambassadeur ne peut le nier. En toute honnêteté, il trouve ça rafraîchissant, loin des circonvolutions de langage et des discussions parfois - souvent - stériles qu'il a pu avoir. "Miss Johnson" Lui rend-t-il avec une brève inclinaison de la tête, "tout le plaisir est pour moi." Il s'écarte de quelques pas avant de désigner l'ordinateur récalcitrant. "J'ai quelques soucis de communication. Voyez-vous, j'ai pour habitude de transférer mes notes de mon pad à mon ordinateur, je l'ai d'ailleurs fait plusieurs fois, mais je suis dans l'incapacité de le faire aujourd'hui." Pourvu qu'elle ne lui demande pas s'il a essayé de brancher - débrancher l'ordinateur, il est peut-être un débutant, mais il n'est pas pour autant complètement ignorant !

"J'ai conscience qu'il s'agit d'une minimisation de vos capacités et je m'en excuse mais je vous avoue, j'étais également curieux de faire votre rencontre." Il préfère se montrer honnête l'ambassadeur, pour ne pas qu'elle s'imagine qu'il sous-estime ses capacités. "Les aussies sont rares, sur l'Arche." Glisse-t-il avant d'allumer son pad, récupéré sur le bureau, et de lui tendre. "En quoi consiste votre travail, exactement, lorsque vous n'êtes pas dérangé par des ordinateurs récalcitrants ou des opérateurs stalkeurs ? "s'enquiert-il, curieux. Il ne va pas lui avouer que les opérateurs qui défilent parfois dans le couloir ne le mettent pas réellement à l'aise et qu'il a parfois l'impression d'être suivi, ce qui est certainement faux étant donné qu'il peine à les distinguer, ces machines. Il les sait être un mal nécessaire, ils ont suffisamment à faire sur l'Arche pour ne pas y rajouter des tâches comme le ménage et les autres choses dont s'occupent les opérateurs mais c'est plus fort que lui, il s'en méfie.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyVen 13 Mar - 18:32

L’ingénieure Johnson se demande vaguement si l’ambassadeur en face d’elle l’a  convoquée uniquement à cause de son nom, de ce drapeau sur son écusson, de ce patriotisme latent qui court un peu dans les venelles métalliques de Voyager. Ah, ils sont tous fiers désormais de représenter les derniers vivants de leurs pays maintenant qu’il n’y en a plus ! Ah, ils ont tous des élans patriotes, dans ce tombeau volant qui part lentement en miettes – pour être optimiste, rappelons que la rouquine travaille de jour avec ceux qui sont chargés de l’entretien du vaisseau. Des informaticiens, sur ce vaisseau – et réveillés – il y en a plus que quelques-uns : Hécate a sans doute compris la nécessité de faire revenir à la conscience ceux plus à même de l’aider, elle. (Son algorithme de réveil demeure un mystère entier et voilé, sans doute pour cela qu’elle fait aussi peur à Poppy. Une chose programmée par l’homme pour répliquer ses décisions est toujours effrayante, à un certain niveau. ) En faisant quelques pas plus avant, elle répond au salut de tête quasiment machinalement. Certains automatismes, même non-pratiqués durant des années, ne s’oublient pas. La distance chaleureuse des personnes dans la même galère est bien différente d’un passager à l’autre.  Lui a l’air plutôt sympathique. À voir ce qu’il en est.

La première réaction de l’Australienne, instinctive, celle qui lui brûle les lèvres mais qu’elle retient à temps ? « Vous avez essayé de le débrancher et rebrancher ? » Dans le doute, reboot, si ça rate, formate. Un dicton stupide – mais peut-être bien trop vrai en informatique. D’un regard curieux – caramel et terre de sienne, whisky et ambre – elle l’interroge un court instant, même si un sourire se forme à la commissure de ses lèvres. « Je ne sais pas ce que j’ai de curieux, mais soit. Voyons donc ce problème. » Toujours franche, même en y mettant les formes. La phrase est sortie sur le ton de la plaisanterie tandis que le pad change de mains. Habituée à se trimbaler le sien de partout, elle le stabilise d’une main – paume à plat, doigts à peine écartés – avant de l’allumer et de regarder la dalle.

« Je fais les plans desdits opérateurs stalkeurs. » Répond la rousse sur un ton plat, laissant sciemment flotter un petit silence et s’efforçant de garder un air neutre quand elle n’a envie que de briser l’instant et de se mettre à sourire. 
Elle tient à peu près quinze secondes avant de craquer : un rire étouffé dans son soupir prend le dessus et elle lui retend son pad éclairé. « Je plaisante… À moitié. Vous pouvez me le déverrouiller ? Le pc je peux m’arranger, mais les pads n’ont pas de superutilisateur viable que je pourrais exploiter. »
Comme tout informaticien, l’Australienne a appris à maîtriser contre son gré l’art du dialogue incompréhensible mâtiné de mots foireux. « Vous savez, je crois bien qu’on est l’une des plus grosses communautés par ici à être réveillés. Australiens purs et durs, j’entends. »
Oui, bon, ils sont trois.
Mais trois, c’est mieux que deux !

« Je n’ai pas fait le tour de tout le monde, je vous avouerai, peut-être que j’en ai manqué deux ou trois… N’ayant pas fait la formation avec le reste de nos compatriotes, j’ai pu passer à côté de quelques-uns. » Parler tant qu’elle le peut encore : une fois qu'elle sera plongée dans les réparations, l’ambassadeur risque de se retrouver à parler au vide.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyLun 30 Mar - 23:15

La jeune femme est franche, visiblement, et pas du genre à accorder sa confiance au premier venu, si Stephen en croit son attitude quelque peu réservée. A moins qu'elle ne soit juste timide, qui sait ! Il lui a fait l'honneur - qui restera secret, d'ailleurs - de ne pas aller fouiller son dossier avant de la rencontrer, et la rouquine ne saura sans doute jamais à quel point c'est un geste de bonne volonté de la part de l'ambassadeur. Il n'aime pas réellement, l'australien, avancer en terrain inconnu. Poppy s'empare de son pad et Stephen la regarde avec curiosité, bien que dans ce cas précis, regarder ne lui apportera rien, il le sait. Il a beau se débrouiller un minimum en informatique, il a bien du mal dès que cela dépasse les fonctions basiques. D'où, peut-être, sa méfiance envers les opérateurs. Opérateurs que, d'ailleurs, la demoiselle en face de lui dit s'occuper. "Vous faites de l'excellent travail." affirme-t-il d'un ton léger, même si la neutralité de la voix de l'ingénieure le laisse perplexe.

Elle ne lui laisse pas le temps de poser la question avant de lui avouer qu'elle plaisante. A moitié. Qu'est-ce que Stephen peut-il bien comprendre de ça ? "Oh, oui, pardon." Souffle-t-il soudain en reprenant le pad pour le débrouiller, un peu agacé envers lui-même de ne pas y avoir pensé. Il aime tout contrôler, l'ambassadeur, et que l'informatique l'en empêche le perturbe bien assez comme ça, sans qu'il se mette à avoir l'air d'un idiot. "Tenez" Lance-t-il en lui rendant l'engin avant qu'elle n'enchaîne par une réponse qui n'a pas grand chose à voir avec l'informatique. "Le docteur Montgomery est le prochain sur ma liste." Affirme-t-il, lui aussi à moitié sérieux. Ah, elle n'est pas la seule à savoir jouer à ce petit jeu !

La jeune femme continue de parler et Stephen ne peut s'empêcher de lui lancer un regard curieux. "Je vous avoue que je n'ai pas été formé non plus par le centre de formation de Brisbane, je travaille à New-York et c'était plus simple de rejoindre Houston." Il ne l'avait pas croisé avant, mais cela ne lui semblait pas improbable, et pour cause ! Mais puisqu'elle non plus n'a pas été formé au centre concerné par l'Océanie... "Ne répondez pas si vous me trouvez trop indiscret, mais où avez-vous été formé ?" Il lui offre une échappatoire, histoire qu'elle ne se sente pas obligé de lui répondre et ne se braque pas, mais Stephen sait déjà qu'il ira chercher la réponse dans les dossiers du personnel si elle ne lui répond pas. La jeune femme a attisé sa curiosité, il serait bien en peine de le nier ! "Je déduis de votre réponse de tout à l'heure que vous avez déjà rencontré le brillant chirurgien australien du bord, en tout cas." Souligne-t-il d'un ton neutre. Les médecins ne sont pas légions à bord, cela n'a rien d'étonnant de toute façon.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptySam 4 Avr - 11:22

Poppy ne sait pas vraiment si l’ambassadeur a compris toute la subtilité de son humour vraisemblablement bien foireux. Pourtant elle aurait pensé que, l’idée y étantt, il comprendrait la subtilité de sa pensée ! Apparemment non.
A revoir, donc. Elle s’entraînerait bien plus tard sur d’autres. Probablement sur ce robot mal programmé par Hécate et supposé leur raconter des blagues, trouvées dans la base de données sous la rubrique ‘culture humoristique’. Affectueusement tenu en cage (compte tenu de son répertoire allant du pingouin qui respire par les fesses à une blague incompréhensible en français à propos, semblerait-il, d’un animateur d’une émission de culture générale et d’un ballon de baudruche tout en passant par des dad jokes encore plus douteuses) le petit comique raté serait un cobaye parfait. De toute manière, il n’allait pas servir à autre chose. Sa fonction étant purement de l’amusement, et son algorithme incompréhensible – comme pour la plupart des robots programmés par Hécate, celle-ci n’avait pas jugé utile d’employer un langage compréhensible par les humains, faisant qu’ils devaient les traduire en quelque chose de réutilisable avant de réussir à réimplementer quoi que ce soit – elle aurait donc grandement à coeur de parfaire sa culture auprès d’un robot foireux.

« Excellent ? Non, vous plaisantez. Ce n’est rien. » Elle n’est pas orgueilleuse pour deux sous, et c’est ainsi qu’elle a toujours su accepter les compliments. La rousse réfléchit un peu en prenant le pad en main, après un « merci » sincère soufflé du bout des lèvres. L’homme s’attend à faire la conversation possiblement. Chose que Poppy est bien incapable de faire, à partir du moment où elle sera penchée sur la machine. Elle ne sait pas comment font les gens pour pouvoir prêter l’oreille à une discussion, une musique, un film, en travaillant ou en faisant n’importe quoi d’autre : sa concentration est unique, à elle. Unique et entière. Les résultats ont prouvé que c’était bien plus probant.
« Il va vous falloir trouver une autre raison qu’un pad refusant de se connecter, pour lui, affirme la rouquine avec un sourire quand ses doigts partent à la recherche de l’icône des paramètres (essayer, juste un peu, de parler en faisant des tâches basiques. Même là elle a du mal. ) Il n’est pas des plus à l’aise avec l’informatique. »
Elle parle d’expérience – mais il ne le sait pas. Les médecins sont des personnes désastreuses avec les ordinateurs.

Des paramètres, elle navigue dans une section à l’instinct plus qu’à la vue : elle sait activer le mode administrateur sur ces engins – heureux possesseurs d’un batch de commande – sans trop y prêter atention. Si ce sont des choses automatiques, elle peut alors feinter. Entendre encore… Même si certains mots échappent à son attention. Elle en comprend l’essentiel. Le nez baissé sur la tablette, l’ingénieure prend le temps de connecter ses accès administrateurs et de lancer un scan rapide des lecteurs disponibles sur le pad. « J’ai fait l’entièreté de ma formation au Japon. J’y étais domiciliée depuis quelques années, et c’est là-bas que j’ai effectué l’intégralité de ma carrière. Il ne me semblait pas juste malgré ma nationalité de ne pas passer la formation dans ce pays. » Pas juste pour ceux qui lui avaient sans doute permis de rejoindre le programme.

La rousse s’installe devant l’ordinateur tandis que continue de tourner le scan. Pour l’heure, aucun problème détecté. Elle rentre rapidement les codes d’accès administrateurs, de manière à se connecter à une interface incompréhensible et un peu terrorisante pour qui n’a pas l’habitude des lignes de commande. Mais tout va bien se passer. De là, elle lance le même processus après avoir passé une poignée de secondes à écrire dans le vide – rien ne s’affiche lorsqu’un mot de passe est tapé.
« J’ai déjà rencontré notre unique chirurgien, oui. » Brillant ? Absolument. Mais juste pour ne pas flatter son égo dans le vide, elle ne le souligne pas.  Un sourire joue sur les lèvres de la trentenaire. « C’est une personne très intéressante, vous verrez. »> Avec de nombreuses qualités qu’elle n’énumérera sûrement pas à haute voix, car certaines sont bien mieux privées.

« Nous nous connaissions d’avant, il est également originaire de ce petit coin perdu qu’on nomme Adelaide. Nommait. Un instant une ombre de tristesse passe ses traits – s’y feront-ils un jour. Il y a également un Kiwi qui se ballade librement à bord. A quelques milliers de kilomètres près, peut-on l’inclure dans les personnes concernées ? »
L’ordinateur sonne à peu près en même temps que le pad, d’un son un peu plus plaintif cependant.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyLun 27 Avr - 15:04

Elle semble plutôt modeste, c'est un fait. Loin de se vanter, Poppy minimise son travail avec les opérateurs, avant de se concentrer sur son pad. Stephen aime parler mais la jeune femme semble concentrée, et il s'en voudrait de la distraire car, véritablement, cela ne serait productif pour aucun d'eux. Il a véritablement besoin de son ordinateur, et il aimerait assez pouvoir se pencher sur son travail sans devoir attendre quelques jours. Ce qui ne les empêche pas d'échanger quelques mots, notamment quand le sujet arrive sur l'autre australien du bord, leur talentueux - si l'on en croit son dossier - chirurgien. "Je note que je dois opter pour une autre approche, dans ce cas." Plaisante le diplomate, observant sans s'en cacher les manipulations de la demoiselle. Il n'y comprends pas grand chose, ce qui ne l'empêche pas de faire semblant.

Poppy finit par répondre à sa question pleine de curiosité, lui révélant qu'elle a fait sa formation au Japon, où elle vivait avant tout ça. Ce qui n'est pas si étonnant que ça, pour une ingénieure en informatique, Stephen suppose. Il observe avec une certaine admiration l'habileté de Poppy pour naviguer dans les programmes avant de se connecter sur l'ordinateur, entrant ce qui semble être une litanie de lettres sans qu'aucune de celles-ci ne s'affichent, un exploit que le diplomate serait bien en peine d'imiter. Attrapant son paquet de cartes abandonné sur le bureau, il les mélange d'un geste machinal, tout en observant la jeune femme. Au ton qu'elle prend, et aux mots qu'elle utilise, il aurait pu affirmer sans qu'elle ne le lui dise qu'elle connaissait le médecin, oui. Depuis, selon elle, avant l'expédition. "J'attends avec impatience cette rencontre, dans ce cas." Confirme Stephen sans trop s'avancer. Il a pour projet de parler un peu avec chacun des gens réveillés, une tâche colossale s'il en est, mais qu'il espère pouvoir mener à bien, en complément de ses autres tâches à bord.

La jeune femme évoque Adélaïde et s'il ne distingue pas son visage, Stephen devine au son de sa voix la brève tristesse qui l'étreint. Il ressent la même chose : parfois, un mot, un geste le ramène en arrière, et le manque lui serre davantage le cœur. "J'habitais Canberra, avant de partir pour New York." Indique l'ambassadeur, avant de reprendre. "Mon oncle avait une propriété à Port-Adélaïde, j'y passais les vacances avec mes cousins." Le souvenir est doux-amer et lui laisse un sentiment particulier, aussi ne s'étend-t-il pas davantage sur le sujet. "Et j'ai déjà fait la connaissance du spécialiste Vakarian." Indique Stephen à l'évocation d'un kiwi en liberté sur le Voyager. "Et je pense que nous pouvons le compter comme l'un des nôtres, effectivement." Il a peut-être été un peu partiel dans ses premières prises de contacts, l'ambassadeur, il aurait bien tort de le nier. Personne ne songera à lui reprocher de se montrer nostalgique, de toute façon.

Les deux appareils sous la garde de Poppy s'éveillent soudain avec une sonnerie que Stephen ne trouve pas particulièrement encourageante, même s'il n'y connaît pas grand chose. "C'est mauvais signe ?" Hasarde-t-il, un peu inquiet pour ses capacités à travailler aujourd'hui. Ses mains n'ont pas lâché les cartes, effectuant quelques tours de passe-passe qu'il connaît par cœur à force de répéter, qui lui permette de se délier les doigts et d'apaiser son esprit. Il y a longtemps qu'il n'a pas eu l'occasion de réellement s’exercer et la familiarité des mouvements lui a manqué. De toute façon, il l'a compris, Poppy est trop occupée pour maintenir une conversation très fouillée, aussi veille-t-il à conserver des sujets simples. "Et comment une ingénieure d'Adélaïde a-t-elle rencontré un estimé chirurgien ? Camarade d'école ?" Hasarde l'ambassadeur. Il est conscient que la question est personnelle, et qu'en recoupant leurs deux dossiers il trouvera sûrement la réponse tout seul, mais Poppy semble occupée, alors peut-être répondra-t-elle machinalement. Ou ne répondra-t-elle pas, si elle considère que cela ne le regarde pas.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyMer 20 Mai - 19:59

Poppy n’a aucun mal à être observée : contrairement à bien d’autres qu’elle connaît, elle n’a rien à cacher quant à ses actions. Elle a pu constater au fil du temps, par ailleurs, que plus les gens suivent ses actions à l’écran et moins ceux-ci semblent comprendre ce qu’elle fait. Elle va trop vite, ses yeux sautent d’une fenêtre à l’autre, les mots clignotent sur l’écran puis sur le pad, le chargement se remplit à un rythme plus ou moins soutenu. Elle a lu un jour qu’une barre de chargement n’est en fait qu’une sorte de calmant psychologique pour aider les gens à attendre la fin d’une exécution.

Elle n’avouera pas qu’honnêtement, elle n’a jamais fichu les pieds à Canberra. L’Australie est bien assez grande pour qu’elle n’ait quasiment jamais quitté l’Australie-Méridionale. Tout au plus, durant la conception d’Apocalypse, a-t-elle été réaliser ses tests à la lisière de l’Outback avec l’aide d’un des amis de ses parents… Mais son exploration de son île natale s’arrête là. Canberra se trouvait à bien mille kilomètres d’Adelaide. Donc… Mais, comme toujours, parler de là-bas comme s’ils avaient, encore, une possibilité d’y être faisait du bien. Quant à New York, n’en parlons pas.

Concentrée sur les clignotements et les réactions de l’objet, elle n’est pas certaine de lui porter la meilleure des attentions. Il a bien du s’en rendre compte, à partir de là. Lorsque résonnent conjointement les deux appareils, l’ambassadeur s’inquiète – et Poppy repousse ses peurs d’un léger geste de la main. « Nah, ne vous en faites pas, ils signifient juste qu’ils se reconnaissent. Certains sons sont mal choisis, c’est tout. Pas de souci à avoir là-dessus. » L’écran fait doucement défiler des lignes de texte blanc sur fond noir, et Poppy en profite. Elle doit attendre la fin de ce défilé inarrêtable pour pouvoir seulement lancer une autre commande. Elle ne compte pas lui expliquer plus que ça ce qu’elle trifouille – les mots scan système sont de nos jours utilisés à tort et à travers.

« Il n’était pas si estimé à l’époque. » est la première réponse qui lui vient. Avec un rire et un regard vers le pad, sans n’avoir rien à faire, elle continue. « Les études en robotique sont dangereuses. Un de mes prototypes pour mon projet d’études a décidé de se retourner contre moi involontairement. Je ne suis retrouvée avec un bon morceau d’acier dans la jambe et le bras, et un peu démise par le poids de la machine. Je l’avais appelée Apocalypse. Sans doute avec raison. » Et pas du tout car elle avait prévu de rendre ce projet le 21 décembre 2012. Enfin si, partiellement. Ce genre de choses, en revanche, reste pour ledit illustre chirurgien. « C’est lui qui m’a rafistolée quand j’ai atteint l’hôpital. »

Elle arrive plutôt bien pour l’heure à gérer les deux fronts. L’effort est complexe mais il ne sera pas vain. La rousse prend bien du plaisir à parler avec l’ambassadeur, bien plus amical que bon nombre de personnes qu’elle a pu croiser jusqu’ici. Elle décide qu’elle l’aime bien, pour l’heure.

« La question à dix mille. Je comprends l’attrait scientifique pour monter à bord, mais pourquoi vous ? » C’est clair, désormais, que ce n’est pas elle la diplomate des deux. « Pourquoi vous avez choisi de venir ? Pacifier les peuples dans une boîte de conserve volante, c’était votre rêve de toute une vie ? »
Elle, elle a toujours rêvé de robots. Ici ou dans les airs… L’australienne le regarde avec une réelle curiosité et un air tout à fait innocent : elle veut savoir. Elle s’interrompt juste après, retournant à l’écran de l’ordinateur pour taper une commande, avant que ne reprenne le ballet des lignes. Le pad réplique désormais l’écran de l’ordinateur.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyMer 27 Mai - 17:49

Stephen a bien vu qu'elle ne l'écoutait qu'à moitié mais quoi qu'il en soit, quand il s'inquiète de la sonnerie qui semblent éveiller les appareils, la jeune femme est prompte à le rassurer. Il ne lui dira pas qu'en vérité, pour le novice en matière informatique qu'il est , tous les sons paraîtraient inquiétants. Surtout lorsqu'il s'agit de ses appareils personnels. Stephen sait s'occuper de choses basiques mais dès que ça déraille, il est un peu trop perdu à son propre goût. Cela l'ennuie, de devoir compter sur Poppy, mais sans doute moins que de devoir compter sur quelqu'un d'autre. Est-ce un sentiment né de leur île commune, ou la fragile apparence de la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, l'ambassadeur décide de lui faire confiance et de la laisser continuer, continuant à battre ses cartes pour ensuite en faire disparaître une qui se retrouve retournée à la fin du paquet. Il esquisse un sourire pensif, l'australien, devant ce tour désarmant de facilité mais qui revêt un caractère spécial pour lui : l'un des premiers tours qu'il a apprit, et qu'il a produit sans faute devant toute la famille réunie.

Il ne pense guère aux siens, le diplomate, en ces temps où les souvenirs n'apportent rien que de la nostalgie. La conversation s'engage sur le chirurgien du bord, que la jeune femme semble décidément bien connaître. L'anecdote racontée par la jeune femme est intéressante et Stephen ne peut s'empêcher de s'en trouver attendri. "Une véritable rencontre de film romantique." souligne-t-il avant d'écarter les mains, paquet de cartes dans l'une, et de dire avec détermination. "Même si je ne veux rien sous-entendre." Ce serait particulièrement déplacé, n'est-ce pas ? Et de toute façon, à priori, ce ne sont pas ses affaires. "Quoi qu'il en soit, c'est heureux d'avoir un tel prodige à bord. J'en ai tout autant à votre égard, d'ailleurs." Il n'a pas entendu parler de son projet, non : il y a bien trop de chose dans ce vaste monde pour entendre parler de toutes, et l'informatique est un domaine qui ne l'intéresse que moyennement. Mais pour qu'elle parte au Japon, et soit recrutée pour le projet Voyager, la jeune femme est certainement très qualifiée. "Et je vous remercie d'autant plus de vous occuper de mon problème." Il est rarement avare en compliment, l'australien : il sait que cela se révèle toujours utile de flatter les gens.

Stephen ne peut s'empêcher de rire lorsqu'il entend sa question, et il attend que la jeune femme s'occupe de sa tâche en cours, puis reporte son attention sur lui pour lui répondre. "J'ai vu ce voyage comme une opportunité de faire davantage au service de la paix et de la diplomatie que tout ce que j'ai pu faire jusqu'à présent." Il ne va pas lui dire, de toute façon, que l'idée que son nom soit inscrit dans les livres d'Histoire a été une véritable motivation. "J'ai travaillé au parlement, puis à l'ONU, mais j'ai toujours pensé qu'il était possible de faire plus, de remodeler la diplomatie internationale pour supprimer les lenteurs politiques." Personne ne va le lui reprocher : la politique n'a jamais été quelque chose de rapide, quelles que puissent être les intentions de chacune des parties concernées. "Faire partie du programme Voyager, c'était en quelque sorte remettre beaucoup de choses à plat, prendre un nouveau départ et avoir l'opportunité de faire évoluer les relations entre les pays en commençant par ceux qui les composent, leurs citoyens." Il secoue la tête, l'australien, amusé. "Du coup, vous avez peut-être raison, si l'on résume grossièrement : je suis là pour pacifier les relations entre chaque pays, au travers de leurs citoyens." Dommage que tous ces pays n'existent plus, désormais : son but est bien obsolète. Il possède également la tutelle de tous les cultes présents à bord mais pour le moment, son analyse dans ce domaine n'a été guère sollicitée : avec davantage de gens qui se réveillent, cela risque de changer, mais il espère bien que cela lui apportera également davantage de personnel. "Mais j'avoue que l'idée d'aller dans les étoiles n'était pas non plus totalement repoussante." Précise le diplomate avec réalisme. "Votre projet, Apocalypse. Il a abouti, après avoir cherché à vous tuer ?" C'est une question pleine de curiosité, il le sait et ne s'en défend pas. Il est honnête, Stephen : il n'a pas étudié le dossier de la jeune femme avant de la rencontrer.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyVen 12 Juin - 22:37

Concentrée sur son écran, la remarque sur le film romantique lui parvient à peine. L’Australienne réussit à sourire à la chose – et se dit, en son for intérieur, que c’est bien vrai au vu de ce qui a suivi – mais retient tout commentaire. Elle ne fait pas assez confiance à quiconque pour déjà se confier sur ce lien si particulier et un peu bancal, bien trop fort, qui a su les unir il y a des années de cela. (Bien trop, si on y pense… Et elle en a le vertige, à bien y songer. Il vaut mieux se dire, alors, qu’ils se sont quittés hier. )
Elle garde la tête penchée, le regard fixe, ne cille même pas en entendant vaguement l’histoire de prodige. La simplicité voudrait un merci, l’orgueil non. Elle a été éduquée en Australie, et non pas au Japon. Se considère-t-elle seulement comme telle ? Non. Elle a juste eu la chance, elle a juste eu le courage, le talent, la détermination, l’envie, mais surtout elle était dans la pièce quand c’est arrivé. Y est-elle pour quelque chose ? Pas forcément. Syndrome de l’imposteur, impression d’inutilité grandissante qui souvent l’habite. Même là, alors que l’ordinateur réagit sous ses doigts, Poppy a peur d’escroquer le monde et ne sent pas tout le temps légitime.

Un sourire naît sur ses lèvres quand son esprit lui permet de se reconcentrer un peu plus aisément sur la conversation. Encore et toujours défilent les symboles sur l’écran, des constantes qui se vérifient, des sécurités mises en place par Hécate pour éviter qu’un petit malin n’aille trifouiller chez les autres. Elle ne fait pas attention du tout aux sécurités qui passent. Tout doit être normal. Elle n’est pas là pour faire de la sécurité. Si Hécate rencontre un souci avec un ordinateur, elle le signalera bien. « Oui je comprends votre point de vue. Et qui n’a jamais rêvé des étoiles ? » On leur a vendu, depuis tout petits, l’immensité stellaire. Ne mentons pas : les enfants nés de la course spatiale et leurs descendants ont toujours rêvé de mettre les pieds ailleurs, car ils savaient en avoir les moyens un jour. Ceux d’avant, au fil du temps, ont levé la tête et imaginé des dieux et des visages, mais jamais le ciel et les étoiles n’ont-ils été inanimés. Tout le monde a toujours eu la tête dans les étoiles. Ils ont simplement été dans les premiers à se barrer.
Elle n’a toujours pas décidé de si ça avait été une bonne chose.

« Apocalypse n’a pas cherché à me tuer. Pas sciemment, du moins, répond-t-elle en haussant les épaules. Il n’avait pas de conscience, je ne suis pas bonne à ça. Le code de base, le fonctionnement… Bête et méchant, oui. A partir du moment où il faut insuffler trop de créativité, où faut recréer l’idée d’un esprit, j’évite. » Jouer au savant fou est différent de jouer au dieu. Poppy ne crée pas d’être. « Je conçois des machines. C’est tout. Mais pour en revenir au sujet… Oui, elle a très bien fonctionné une fois réparé. C’est grâce à lui d’ailleurs, partiellement, que je suis partie au Japon. Faire quelque chose qui n’avait rien à voir. » En souriant encore, elle reporte son attention sur l’écran – qui affiche familièrement l’écran par défaut de l’ordinateur, et signale un branchement non-finalisé. Les connexions aux pad sont sécurisées – plus ou moins. Il arrive que ça saute.
« Ah, je crois avoir votre souci. Enfin. » Elle sourit, tapote un peu, écrit. « Pour vous résumer, les deux ont eu du mal à communiquer, et le branchement a claqué à un moment. Ca devrait… Je peux réparer, ça va aller. Et ça devrait normalement ne plus arriver. »
Normalement.
Parce qu’en informatique, bien sûr que la plupart du temps, tout merde quand on dit ça. <
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyMar 23 Juin - 22:34

La question est rhétorique et il ne prend pas la peine de répondre Stephen, observant sans y comprendre grand chose ce qui défile sur l'écran de l'ordinateur. Il n'est pas un novice en informatique mais dès que cela sort du cadre habituel, inutile de chercher, il n'est pas du tout compétent. Chacun son domaine, après tout. Ses mains battent machinalement le paquet de cartes qu'il a gardé, trahissant son impatience. Il n'aime pas rester à ne rien faire l'australien et clairement, à cet instant, il ne peut pourtant rien faire d'autre que regarder. Et converser avec Poppy, de temps en temps, lorsque la rouquine n'est pas trop profondément plongée dans son travail.

Elle finit par répondre à sa question, et Stephen a un geste d'excuse quand elle souligne que sa création n'avait pas de conscience. "Pardonnez-moi. C'est un domaine que je ne maîtrise pas, ou très peu, et ma question n'avait pas pour objectif d'être déplacée." Il n'a pas vraiment de mal à s'excuser l'ambassadeur, un peu plus à avouer que ses compétences, ici, sont bien maigres. Il n'est pas stupide, il comprend bien la différence entre un robot doué de conscience et un autre qui ne l'est pas, mais les indices laissés par Poppy sont trop subtils pour lui. Le regard de la jeune femme s'est tournée vers l'ordinateur et Stephen l'imite, soupirant presque de soulagement devant le fond d'écran familier qui s'affiche. Ça au moins, il reconnaît, et c'est bien mieux qu'un bête écran noir qui ne lui dit rien. Cela semble plutôt bon signe, quoi qu'il en soit. "Je vous remercie de faire simple pour les néophytes comme moi." Souligne le diplomate avec malice.

Il se penche vers la jeune femme, curieux. "Vous savez à quoi c'est dû ? J'ai plusieurs informations sensibles dans mon ordinateur, ça m'ennuierait qu'un claquage, comme vous dites, efface la totalité de mon travail." Il lève sa main libre, comme pour étouffer toute protestation. "Je sais, je devrais sauvegarder plus régulièrement." Il a tendance à oublier, parfois. "Mais si vous pouvez réparer, je vous en serai reconnaissant." Il ne ment pas, réellement, si elle peut tout refaire fonctionner, il lui devra une fière chandelle, même si elle ne fait que son boulot. Qui, pour le coup, n'est pas réellement son boulot d'ailleurs.Il ne regrette pas de l'avoir sorti de ses tâches habituelles pourtant, surtout qu'elle ne semble pas lui en tenir rigueur.

"Je vais donc pouvoir continuer ma tournée des interrogations et attentes de l'équipage." Ce n'est pas exactement son boulot, non plus, mais ils sont tellement en manque de personnel qu'il faut bien mettre la main à la pâte, et Stephen préfère avoir un tour complet des avis de chacun avant de se pencher sur son boulot et comment le remettre à jour, maintenant qu'ils dérivent dans l'espace et que l'ONU n'est plus qu'un lointain souvenir. Il se sent encore un peu démuni à cette idée l'australien, mais il n'est pas du genre à baisser les bras. Il se trouvera d'autres objectifs pour améliorer la vie à bord, il n'en a aucun doute. Et augmenter son prestige, en même temps. Après tout, il n'est pas là pour se retrouver effacé des mémoires, qu'importe que les seuls survivants de la Terre soient confinés sur cette boite de conserve.

Évidemment, question coopération internationale, il se doute bien qu'il va falloir faire une croix dessus, mais régler les conflits, ou les prévenir, est déjà dans ses cordes. "Vous êtes bien peu réveillé, dans votre département, et votre charge de travail dépasse l'entendement." Il sait bien, Stephen, que l'organigramme prévu a été modifié au gré des réveils - ou non-réveil, plus exactement - et que leur situation est loin, très loin de constituer un environnement de travail apaisant, sans oublier l'immense charge de travail absolument pas prévue au protocole. "Malheureusement, je pense que nous devons tous nous adapter, ce qui n'est pas évident pour certains." Ils ont tous, théoriquement, été choisi pour leurs capacités d'adaptation mais Stephen est bien placé pour savoir que le processus de recrutement a ses failles.
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyVen 7 Aoû - 21:57

Poppy parle, indirectement, la langue des bips et des lignes de code qui dansent sur les écrans. Elle comprend sans vraiment expliquer comment les résultats qui s’affichent sous ses yeux, les mots qui, bien qu’en anglais, ne parlent qu’aux initiés. Des histoires de ram, de recharge dégradée. Des bouts d’algorithme clignotant, ici et là. Des murmures de string avec un saut de ligne non-échappé, quelqu’un qui a développé un truc comme un pied sans doute sans que ça n’impacte forcément le fonctionnement du  processus en lui-même – un miracle que la station ne se soit pas cassé la gueule, si tout fonctionne comme ce qu’elle voit défiler à l’écran.

Ce langage elle comprend bien, et se fait confirmer par l’ambassadeur, qu’elle est la seule des deux à le comprendre. Elle ne lui en tient pas rigueur : l’informatique et la robotique font peur aux non-initiés. L’image du nerd assis pendant huit heures derrière son pc a marqué les générations, et pas pour le mieux. « Elles ne sont pas déplacées. C’est compliqué d’expliquer aux néophytes, pour ne pas dire incultes, la différence entre les différents corps de métiers. Comme pour tout. Allez dire à un de nos agents de surveillance de piloter une navette…. » Elle sourit, brièvement, en imaginant le terrifiant chauve de la sécurité tenter une telle manœuvre. « C’est pareil à mes yeux. Ils sont militaires. »

Vient alors le moment des explications. Elle expire, inspire, ramène à elle toutes ses pensées et calme sa voix. Cherche les mots au fond d’elle pour ne pas employer de termes compliqués alors qu’elle navigue dans l’arborescence des fichiers du pc personnel de l’ambassadeur à la recherche de ce qui pourrait bloquer.
Une console s’ouvre à nouveau. Sans regarder le clavier, elle tape six lignes qui s’enchainent. Deux fois entrée.
Et c’est reparti pour un tour.

« Je peux réparer, et ça ne claquera pas. Même si ça claquait, vos informations sont sauves, je pourrais vous les récupérer. » La rousse crâne un peu en disant ça : c’est faisable, mais pourquoi elle plutôt qu’une autre ? Par fierté nationale, connerie qui n’existe plus ?

« En tout cas, je vous décongestionne tout ça, et… Pour faire simple, je répare. » Abandonner les explications reste toujours la solution de facilité. Sur l’écran, des noms de fichiers défilent et s’effacent, une barre de progression tournoie. « Nous sommes bien assez pour récupérer les robots en vadrouille et réparer les soucis causés par la programmation d’Hécate dans leur code. » répond honnêtement l’ingénieure, croisant un peu les bras, la tête penchée. « Mais des fois, je fais du dépannage informatique aussi. On peut pas survivre si on ne s’adapte pas. Je doute cependant vous voir vous reconvertir et venir m’aider à courir après les opérateurs, je me trompe ? »
Son rire emplit la pièce un court instant, avant qu’un bing ! Simultané du pad et de l’ordinateur ne la tirent encore une fois de sa discussion.
« Ah. On devrait cette fois être bons. »
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Message(#) Sujet: Re: G'day, mate ! G'day, mate ! EmptyMer 12 Aoû - 15:15

La jeune femme ne lui en tient pas rigueur, lui expliquant que pour elle aussi, c'est un peu la même chose dans différents domaines. Il peut bien comprendre, l'ambassadeur, à quel point il est parfois difficile de distinguer les corps de métiers dans un même département, surtout lorsqu'on ne le connaît pas. Stephen hoche la tête, reportant son regard sur les écrans sans saisir le trouble de la jeune femme qui s'apprête à lui expliquer de façon à ce qu'il comprenne. Tant mieux, en un sens : il aurait pu se vexer, à être traiter comme un ignorant. Même si la définition est totalement exacte.

Nouvelle manipulation de Poppy, nouvelles choses incompréhensibles qui s'affichent sur l'écran, et enfin une bonne nouvelle : elle peut réparer et, surtout, il ne perdra pas ses fichiers. Vu leur manque évident de ressources et de matériel en bon état, les réparations sont essentielles et l'idée qu'elle puisse réparer sans trop de problèmes est un réel soulagement. Il n'a guère envie, l'ambassadeur, de devoir faire une demande de réquisition à un personnel débordé qui ne prendra en compte sa demande que lorsqu'il y aura moins urgent à traiter. C'est leur lot à tous, certes, mais Stephen s'estime bien au-dessus de ça.

Ils sont bien assez dans son département pour chasser l'opérateur, lui assure Poppy, avant de se fendre d'une petite blague. Stephen se joint à son rire avant que l'ordinateur ne signale qu’apparemment, tout est de nouveau fonctionnel. Miracle de la technologie et de ceux qui savent la dompter ! "Vous pourriez être surprise, qui sait, peut-être que j'ai un talent naturel pour traquer ces machines ?" C'est une blague, il n'a absolument pas envie de s'y coller. Elles ne lui font pas peur, comme elles peuvent impressionner certains mais Stephen n'a pas une confiance folle dans ces opérateurs bien trop présents - et bien trop mal montés. "Vous êtes merveilleuse." Lui assure l'australien en prenant délicatement son pad, de peur que celui-ci ne lui ai fait une blague et affiche de nouveau un écran noir. "Merci Miss Johnson. Sincèrement." Il lui épargne les paroles creuses, les "je ne vais pas tarir d'éloges à votre égard auprès de votre supérieur" et autre balivernes qui marchaient sans aucun doute sur Terre, mais plus ici. Ici, la valeur de chacun est indéniable : ils ont été choisi pour cela, de toute façon et comme le dit si bien la jeune femme, ils n'ont d'autres choix que de s'adapter le mieux possible.

"Je ne vais pas vous retenir plus longtemps que nécessaire."
Il l'a déjà bien embêté dans son travail, même si elle lui a assuré que non. "Mais si vous avez besoin de quoi que ce soit, venez me trouver. Je sais que je ne devrais pas dire ça mais entre compatriotes, je me ferai un plaisir de vous aider si je le peux." Ce n'est sans doute pas politiquement correct, et cela va probablement à l'encontre de cette unité qui est la règle sur leur Arche mais tant que cela reste leur secret, personne ne la pensera privilégiée !
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