Oups, c'était la porte côté.

Date d'inscription : 10/08/2020

1.6	Oups c'était la porte à côté.

• Date : 17 août 2920.
• Statut du RP : privé
• Résumé : Abby est perdue dans ses pensées et ne remarque pas qu'elle s'est trompé de cabine. C'est donc ainsi qu'elle fait la rencontre de Fry, son voisin.
• Recensement :

Code:

• [b]17 août 2920:[/b] [url=http://starship-voyager.forumactif.com/t761-oups-c-etait-la-porte-cote#20888]Oups c'était la porte à côté[/url] - [i]Abbygaëlle Bjarndottir & Fry Vakarian[/i]
Abby est perdue dans ses pensées et ne remarque pas qu'elle s'est trompé de cabine. C'est donc ainsi qu'elle fait la rencontre de Fry, son voisin.

Date d'inscription : 10/08/2020

Cela faisait un peu prés une semaine qu'Abby s'était réveillée. Les choses n'étaient pas du tout semblables à ce quelle s'était imaginé. Il fallait dire que Hecate avait bien choisi son moment pour la sortir de sa cryogenisation. Ils manquaient d'eau, de nourriture et d'oxygène. Un véritable enfer. Pour couronner le tout, la jeune femme se sentait totalement inutile, encore plus lorsqu'elle avait appris que quelques groupes allaient partir en exploration, mais quelle Ne pouvait pas venir car les équipes étaient déjà faites et qu'il fallait un certain temps d'adaptation après son réveil... cela la faisait juste enrager. Et puis ces couloirs qui n'en finissaient pas ! Bien sure elle avait eu une formation et devait connaitre le plan du vaisseau par coeur. Seulement voilà, après deux cent ans dans le coltar, il n'était pas tout frais dans sa tête le plan. Heureusement, elle finit par retrouver le couloir qui devait l'amener à destination : sa cabine.

C'est perdue dans ses pensées quelle se dirigeait vers ses quartiers. Elle avait besoin d'être seule et de réfléchir à tout ça. C'était qu'elle avait beau avoir la positive attitude de façade, en réalité elle n'en menait pas large... ce n'était pas tant le fait qu'ils soient dans une situation catastrophique qui l'accablait, mais surtout de se dire que ses proches étaient tous morts depuis des centaines d'années. Que l'humanité toute entière étaient dans ce vaisseau. Que la terre n'existait plus.

Elle soupira de frustration et passa d'un geste rapide son comlinks devant le scanner pour ouvrir la porte de sa chambre. Cette dernière s'ouvrit comme à son habitude. Elle entra donc dans ce quelle croyait chambre et se jeta sur lit. Mais à y regarder de plus près... ce n'était pas ses affaires qui étaient là. Elle se redressait et se tourna vers la salle de bain dont elle venait d'entendre le mécanisme.

Elle recula rapidement alors qu'un homme, torse nu, venait d'apparaître devant elle.

" Mais qui êtes vous et que faites vous dans ma chambre ? " demanda t elle surprise. Aux dernières nouvelles, il n'y avait pas de cabine mixte !

Rpg: désolée si il y a des erreurs de frappe je suis sur tablette c'est pas facile je relie ça demain ^^

Date d'inscription : 15/06/2019

Les temps étaient plus que difficile. Le manque d'eau et d'oxygène devenait plus que crucial, c'était la crise à bord du Voyager. Le dernier problème était une groupe d'une dizaine de personnes ayant totalement baissé les bras et décidé de se suicider. C'était triste, un acte qui n'aurait jamais du avoir lieu à bord. Et si ça continue, ça risque de ne pas aller en s'arrangeant. En tant que soldat, Frye tient le coup, il n'a pas le droit de flancher, ni même de montrer son avis vis à vis de tout ça. Il essaie au contraire de rester positif et de rassurer les gens quand on vient lui demander si c'est la fin de l'humanité. Lui qui n'est pas des plus sociable, devoir jouer les "médiateurs" ce n'est pas trop quelque chose qui lui plait.

Mackenzie lui avait appris que quatre planètes promeneuses avaient été trouvé et que des expéditions seraient bientôt lancées. Frye serait le pilote de l'une d'entre elle. Là bas, ils espéraient pouvoir trouver ce qu'il faut niveau ressource pour que le Voyager reparte de plus belle. Pour vu que ce soit vraiment le cas. Le manque d'eau était terrible et l'odeur à bord devenait de plus en plus nauséabonde. Même lui avait du mal à supporter sa propre odeur. Plus de douche, juste de l'eau pour s'hydrater c'est difficile. Malgré tout, dans sa cabine, il avait sacrifié un peu d'eau pour se laver le visage et quelques parties du corps avec un gant. De l'eau qui réutilisait autant que possible. Autant dire que sa toilette de chat ne servait plus à grand chose, mais l'idée de fraicheur sur sa peau était assez satisfaisant pour avoir l'impression d'être un peu plus propre.

Le militaire était dans sa salle de bain, il avait retiré son t-shirt le temps de se débarbouiller le visage et de passer rapidement un peu d'eau sur ses bras, son torse et sous ses aisselles dans l'espoir de dire adieu à l'odeur de transpiration. C'était pas fameux, heureusement qu'il avait un peu de parfum, mais c'est plus un cache misère qu'autre chose. Tout le monde fait ça. Alors qu'il était encore dans la salle d'eau, il cru entendre du bruit, sa porte qui s'ouvrait. Intrigué, il quitta la petite pièce pour voir une femme dans sa chambre, sur son lit. Au départ, il pensa à Mackenzie ou Jerry. S'entendant bien avec les deux femmes, ce sont les deux seuls qu'il imagine pouvoir venir et entrer sans permission. Sauf que ce n'était ni l'une, ni l'autre mais une parfaite inconnue dont le visage ne lui disait rien. Dans un message, il avait lu qu'un nouveau réveil avait eu lieu. Merci Hécate de foutre tout le monde dans la merde en faisant sortir du sommeil des gens qui auraient mieux dû rester dans les bras de Morphée. Cette femme s'offusqua de savoir ce que Frye faisait dans sa cabine. Pardon ? Sa cabine ? Le spécialiste resta calme et dit simplement, "Je crois devoir vous retourner la question mademoiselle. Qu'est-ce que vous faites dans ma cabine... ?" Il était toujours torse nu et celui lui était complétement égal. D'un signe de main, il montra la chambre, il y avait des affaires à lui, ce qui démontrait qu'il était installé là depuis un moment. "Je pense que vous avez dû faire erreur... Mais la question est, comment êtes-vous entrée ?" Techniquement, il faut son comlink pour entrer et il doute que le sien soit paramétré pour pouvoir s'introduire chez lui.

Date d'inscription : 10/08/2020

Les maux de tête depuis son réveil ne s’étaient pas arrangés. C’était peut-être également pour cela qu’elle n’avait pas remarqué que sa porte de chambre était celle d’à côté. Seulement voilà, elle avait beau avoir une belle excuse, elle ne se rendait pas compte de son erreur tout de suite, accusant l’homme qui venait de rentrer chez ce qu’elle pensait être chez elle.

En plus, le bougre était torse nu. La jeune femme s’insurgea, lui demandant ce qu’il faisait là et surtout qui il était. Son regard passa alors du visage du jeune homme sur le reste de son corps et elle se mit à rougir légèrement. Ce n’était pas qu’elle n’avait jamais vu de torse nu, c’était juste que voir un homme ainsi dans sa chambre, c’était légèrement intimidant. Et puis, on ne pouvait pas dire qu’il était moche, bien au contraire. Il devait avoir quoi, la quarantaine ? Et semblait s’entretenir aussi.

Elle secoua la tête quelques secondes. Que ce soit Brad Pitt qui rentre dans sa chambre ou non c’était pareil ! Aussi elle lui lança un regard noir, prête à en découvre s’il ne s’expliquait pas rapidement. Enfin, même si il ne fallait pas être Einstein pour savoir que si ils se battaient, il aurait facilement le dessus…

L’homme reste calme et l’observe sans animosité, malgré ses accusations. Elle a de la chance, pas sûre qu’elle aurait réagi de la même façon si elle avait été à sa place. Aussi, lui dit-il qu’il pourrait lui retourner la question, qu’est-ce qu’elle faisait dans sa cabine. Alors qu’elle allait de nouveau s’insurger, en l’accusant de se moquer d’elle, l’homme lui désigne de la main un endroit de la chambre où repose ses affaires à lui… Maintenant qu’il met le doigt dessus… C’est que tout n’est pas exactement pareille que dans sa chambre.

« Oh. Je vois. » lâche-t-elle, perdant toute contenance. Se rendant compte de la situation, la jeune femme pique un fard alors qu’il lui demande comment elle a fait pour rentrer dans sa cabine. Elle lève l’avant bras gauche devant elle et montre de son autre main son Comlink ;

« Je suis rentrée avec mon Comlink. » lâcha-t-elle, avec un peu trop de rapidité, comme si elle était trop heureuse de trouver un coupable. Et voilà qu’elle commence à agiter les mains dans tous les sens et qu’elle n’arrête pas de parler. « Je suis sincèrement désolée… Vraiment. Enfin, j’étais persuadée être dans ma cabine… Mais, il semblerait que je me sois en effet trompée. » avoua-t-elle avec un petit rire embarrassé. « A part si nous sommes colocs ! » plaisanta-t-elle pour tenter de cacher sa gêne. « Je… C’est que je suis nouvelle et… »

* Et que tu n’as jamais eu le sens de l’orientation. *

La brunette se tait, perdue et surtout terriblement mal à l’aise avec la situation. Heureusement qu’il n’était pas totalement nu ! Elle imaginait déjà qu’il puisse porter plainte pour avoir pénétrer chez lui et vu dans son plein simple appareil.

« Je m’appelle Abbygaëlle. » s’empresse-t-elle d’ajouter, comme si tout ceci expliquait la situation. Puis, elle lui tend la mains, mais se ravise. Oui, il est tout de même torse nu le jeune homme. Elle détourne aussi les yeux trouvant soudain le sol beaucoup plus intéressant et se racle la gorge. Bon, il est entre la sortie et sa position…« Et je suppose que j'habite... pas loin. A côté. »

Date d'inscription : 15/06/2019

C'était une surprise de découvrir quelqu'un dans sa cabine alors qu'il ne devrait pas y avoir quelqu'un d'autre que sa propre personne. C'était certainement un malentendu, rien de plus. Cette demoiselle, s'offusqua presque immédiatement de voir Frye sortir de la salle de bain, se demandant ce que faisait l'homme dans sa chambre. Ah ben tient, en voilà une nouvelle "SA" chambre ? Aux dernières nouvelles, depuis son réveil, le militaire n'a pas eu d'autre cabine que celle-ci. A moins qu'il y ait eu un changement de dernière minute, mais sincèrement, il n'en voit pas l’intérêt étant donné qu'il y a tout un tas de cabine disponible vu que la plus grosse partie de l'équipage est encore endormie. La tête de la jeune femme lui était inconnue. Il a beau ne pas être des plus sociables, il y a moins d'une centaine de personnes qui est actuellement réveillé, même s'il n'a jamais parlé à tout le monde, il connait les têtes. La sienne lui est totalement méconnu, ça voudrait dire qu'elle a été fraichement réveillé par Hécate. Quelle délicieuse idée de réveiller du monde alors que l'oxygène et l'eau deviennent une denrée rare à bord du Vaisseau... A croire qu'il ne faut pas faire confiance aux I.A.

Le pilote retourna la question de la demoiselle, histoire de lui faire réaliser qu'ici, elle n'était pas chez elle, mais chez lui. Il fallut quelques secondes avant qu'elle ne réalise son erreur. Eh oui, elle s'était visiblement trompée de chambre, mais c'était étrange qu'elle ait réussi à entrer ici. La jeune femme lui montra son Comlink, l'objet coupable qui avait servi de clef pour la faire entrer. Bien sûr, pourquoi pose t'il la question. Mais la logique voudrait qu'elle ne puisse pas entrer logiquement. Un mauvais paramétrage avait dû être fait, donnant ainsi l'accès à la porte de Vakarian. Par la suite, elle se confondit en excuse, car elle savait être fautive dans l'histoire, mais il n'y avait pas mort d'homme, c'était un simple malentendu. Ceci le fit doucement sourire, c'est une situation un peu cocasse, c'est une chose qu'il n'était pas complétement nu. "C'est pas grave, il y a dû avoir un bug quand ils vous ont attribué la chambre. On va faire arranger ça." Avec l'électronique et l'informatique, il y a toujours des bugs, un chiffre ou une petite faute sur une ligne de code et ça marche à l'envers. N'en déplaise à la demoiselle, il n'y a pas de colocation ici, que des chambres individuels, en témoigne le seul lit une personne de la cabine. Histoire de finir de briser la glace, elle indiqua son prénom, Abbygaëlle. Histoire d'être un peu plus présentable, il se retourna pour attraper une t-shirt. Il hésita, il n'en avait plus un seul de propre vu qu'il n'y a plus de "machine à laver" à cause du manque d'eau. Il en prit donc un au hasard, qui n'aura surement pas l'odeur la plus sympathique du monde, mais tout le monde est loger à la même enseigne en ce moment. Rapidement, il l'enfila histoire que la demoiselle soit plus à l'aise. "Moi c'est Frye, Frye Vakarian, spécialiste Tactique et Pilote. Excusez moi pour... hum... l'odeur, mais si vous avez été briefé, nos réserves d'eaux sont au plus bas et nous l'utilisons uniquement pour boire. Du coup, plus de douche, plus de linge propre..." C'est difficile de vivre avec une odeur corporelle peut reluisante, quoi que tout le monde commence à s'habituer, mais pour quelqu'un qui vient de se réveiller, ça peut être flagrant et dérangeant. "Dites moi quel est votre chambre, je peux vous aider à retrouver votre chemin si vous êtes perdue. Et puis, je pense qu'on peut essayer de nouveau votre comlink, voir s'il ouvre ma porte ou si c'est ma porte qui déconne..." propose t-il. Maintenant qu'elle est là, il ne va pas la laisser dans la merde, autant l'aider et comprendre d'où vient se problème de porte qui s'ouvre comme ça. C'est vrai que ça pourrait aussi être sa chambre qui à un problème.

Date d'inscription : 10/08/2020

La petite Abbygaëlle était persuadée d’être au bon endroit, dans sa chambre à elle ! Seulement, il fallait bien qu’elle se rende à l’évidence… Ce n’était pas ses affaires qui étaient présentes ici. Du coup, elle venait « d’agresser » un pauvre type en l’accusant presque d’être un pervers le pauvre ! Se rendant compte de ce qu’il se passait, elle s’en voulut légèrement et s’excusa aussitôt, mal à l’aise. Encore une fois, à peine débarquer qu’elle se tapait l’affiche avec des inconnus… Génial. Apparemment, ce n’était pas en 900 ans qu’elle avait changé.

Heureusement, le bel homme ne sembla pas lui en vouloir pour autant puisqu’il lui offrit même un petit sourire pour ensuite la rassurer avec des mots. Cela rassura un peu la jeune femme qui tapota sur son comlink comme-ci cela allait le faire fonctionner correctement.

« J’ai déjà une chambre. Je veux dire j’en avais une… Je… L’orientation n’est pas ma plus grande qualité.» avoua-t-elle avec un sourire de coin. « Ca doit êtes ce truc qui a bugué. » ajouta-t-elle en désignant sa montre au poignet. « En même temps ce que j’ai cru comprendre, la technologie fait un peu qu’à sa tête. » plaisanta-t-elle, avec un petit sourire désolé.

Il faut dire que dés que la petite se sent mal à l’aise, elle plaisante, elle fait des blagues pour se détendre et détendre les autres. Du coup, elle enchaine en parlant de coloc. Elle sait que ce n’est pas le cas bien sûre, mais c’est drôle, non ? Apparemment pas. Elle se dépêche alors de se présenter, détournant toujours les yeux car le pauvre était quand même torse nu. Peut-être aurait-elle mieux fait de partir plutôt ?

Il s’excuse alors pour l’odeur se présentant au passage et Abby lève les yeux remarquant qu’il a alors mis un tee-shirt. Elle se sent déjà plus à l’aise en voyant qu’il est à présent habillé de la tête au pied. Elle se racle la gorge alors. Elle a commencé à s’habituer à l’odeur de ses camarades… Heureusement, elle avait encore la chance de ne pas sentir trop la transpiration puisqu’elle n’était réveillée que depuis une petite semaine.

« Ne vous inquiétez pas… J’ai bien compris la situation… Malheureusement. Et on s’y habitue, un peu près. » Elle lui offre un sourire un peu forcé, qui montre bien qu’elle sait que la situation est compliquée. Mais Abby est du genre positive attitude, elle pense que tout ça va s’arranger.

« Euh je suis chambre P-6… Mais je ne veux pas vous embêter vous avez sans doute d’autres choses à faire. Au pire, je toquerai à chaque porte avant de passer mon comlink. » dit-elle avec un petit sourire de coin. Enfin, en réalité, elle n’est pas contre un peu d’aide, mais elle n’oserait pas déranger. D’ailleurs… elle espérait que son comling ouvrait toujours sa chambre !!

Spoiler:

Date d'inscription : 15/06/2019

Le militaire pense bien qu'elle a une chambre, elle n'est juste pas entrée dans la bonne ce qui est déjà en soit assez bizarre car les Comlink ne sont censés ouvrir que la bonne porte. Alors soit s'était un mauvais paramétrage, soit tout part en couille pour ne pas changer. En même temps, vu la situation actuel plus rien n'a d'étonnant, sans oublier le mimic qui se ballade dans le coin, peut-être qu'il a coupé un fil ou fait un truc du genre et hop tout est déréglé. Donc il penche pour ce qu'elle dit et le bug de l'informatique. Même après 900 ans c'est toujours aussi peu fiable par moment. "Disons que les choses sont un peu compliqué en ce moment, mais c'est surement un bug. Je ne pense pas pouvoir vous aider à régler ça, il faudra voir avec un technicien ou un informaticien. Je pense que si vous posez la question à Hécate, elle aura une réponse à ça." L'I.A gère pratiquement tout à bord, elle sait qui il faut contacter en cas de besoin et compagnie.

Abbygaëlle avait du découvrir cette étrange situation, le fait qu'il n'y ait quasi plus d'eau et que l'air commence à se raréfier. C'est pas vraiment le meilleur moment pour se réveiller et en plus de ça elle pouvait constater que l'odeur qui a à bord n'est pas au top en ce moment. Pour ceux qui sont debout depuis longtemps, c'est à dire le début du manque d'eau, l'odeur devient presque invisible, les narines étant habitué, ça doit être plus difficile pour quelqu'un qui sort du sommeil. "Je ne suis pas sûr qu'on puisse s'y habitué. Je me dégoute moi même, mais on est tous dans le même cas. Le jour ou on va retrouver de l'eau, ça va être un vrai bonheur de pouvoir se doucher." Tout le monde ici rêve d'eau chaude, d'une douche voir même d'un bain et de ne plus en sortir.

La demoiselle indiqua sa chambre, c'était celle voisine à la sienne logiquement, elle se n'était donc pas trompée de beaucoup. "Je vais vous aider, en plus de ça, votre porte n'est pas très loin..." Il passa devant et ouvrit sa porte l'invitant à ce qu'elle le suive. Il fit quelques pas et montra la porte de la cabine P-6 se trouvant littéralement à coté de la sienne. Elle ne pouvait pas faire plus près à ce niveau là. "A une porte près c'était bon. Essayez votre comlink voir si votre porte s'ouvre ?" propose t-il à la demoiselle.

(#) Sujet: Re: Oups, c'était la porte côté.